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Goderdzi, 21 juillet 2002

Celui-là de jardin nous nous en rappellerons. Pour une mauvaise préparation de route, il nous a coûté 2’000 mètres de dénivelés, 100 km de piste de poussière, boue, évacuation, en bus, changement de freins pour Philippe, pneu arrière éclaté pour Cécile, nuit en refuge. Mais cela valait la peine!

Un site magnifique surtout s’il fait beau, soutenu par diverses fondations dont la Confédération suisse et l’Allemagne.

Un coin de montagne, préservé avec maestria des troupeaux, naturellement arborisé avec des sujets de 30-40 mètres de haut. Une magnification de la flore indigène, présentée dans son état le plus proche de la nature. Nous somme au milieu d’alpages jardinés, entretenus pico Bello par un équipe de 6 jardiniers, bravant l’humidité et le froid. Jardin conçu dès 2016 et ouvert au public en 2021, Tout est majestueux, le site est serein, aucun bruit de civilisation. 120 ans après la création du jardin de Batoumi, on assiste à une démonstration de naturalisme. Dommage que la météo de brouillard installé depuis 10 jours aie retardé les floraisons. Cela reste un très bel endroit, à revoir dans 10 ans, quand la route sera refaite (lire notre brève la route impossible) et quand les plantes de rocailles seront davantage installées.