Aldo Bongiovanni, dialogue avec le monde invisible
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Entrer en dialogue avec Aldo, c’est parfois passer dans une autre dimension, poétique, ésotérique. Références à la mythologie, à l’anthroposophie, à l’imaginaire de Tolkien, à l’histoire récente, à la physique quantique. Se laisser emporter, se faire confiance et écouter, accepter d’être transporté avec ses mots et ses images évocateurs, porteurs, voyageurs, signifiants. Aldo s’est nourri et inspiré des grands auteurs, artistes, scientifiques, voyageurs qui ont participé à la révolution culturelle de 68 et il a toujours continué à lire, se documenter, faire ses propres recherches, hors des sentiers battus pour tenter de rendre intelligible le monde dans lequel il s’insert. Son monde est riche, complexe, subtil. Nous sommes bien incapables de vous le décrire avec justesse. Nous vous ouvrons la porte à travers quelques une des ses réalisations…Pour s’exprimer, bd, journaux, peinture, sculpture sur bois, poésie….
En nous ouvrant sa salle des archives, il nous présente les affiches qu’il réalisait pour des manifestations dans les années 80 sur du papier calque à l’encre de chine.
Puis, progressivement son monde se naturalise et d’autres personnages apparaissent.
Interviennent enfin les alliés légendaires, quelques uns de ses protecteurs…
Son univers s’inscrit dans une recherche approfondie de la mythologie et de l’histoire antique de la Sicile.
Ses sculptures, plus récentes, sur bois, faites de pigments et de couleurs de sa propre création, sont imposantes:
Aldo passe aussi par l’écrit. Plusieurs classeurs fédéraux fourmillent de textes qu’il souhaite un jour publier. En attendant, il offre à l’impatient quelques bribes, sous forme de feuillets, magnifiquement manuscrits.
« L’insegnamento piu grande e quello che suggerisce di affrontare la vita con grazia…Siempre con piu grazia…In attesta che sbocci...
Era Sifer Altea. Era nelle vicinanze. Stava vegliando. I sensi attenti, nel buio della notte, facevano capolino. Con la coda dell’occhio scrutava le ombre oscure saltellargli attorno, paurose. Guarda, va fisso davanti a se. non era soltanto il capucchio ed il mantello che la rendeva anonima ed invisibile. Quelli, tuttalpiu la riscaldavano da quel freddo mortifero calato durante la notte. Erano le sue arti che le permettevano di restare sveglia, attenta e sicura di se. Stava vegliando. Era li’che lo aspettava. Un’ombra fra’le ombre. Mentre ascoltava il ticchettio del cuore battere. (…) » Aldo Dongionvanni